PÔÉME LU À LA FIN DE LA CÉRÉMONIE
À USINENS
Toi, si bienveillante, si avenante et la main sur le coeur.
Toi toujours prête à tendre la main et à nous réconforter.
Pourquoi à-il fallu que cet maladie, sournoise et objecte.
T' emporte si soudainenement, et en plus si rapidement.
je m'en veux d' avoir été absent' ce jour du 3 septembre.
Et ma mémoire sera marquée de tristesse à tout jamais.
Pardonne-moi de ne pas t'avoir tenue la main à cet instant
Ta bonté, ta gentilesse, ta gratitude resterons à tout jamais
Gravés dans mon coeur, ton souvenir lui perdurera